Et je danse sur la symphonie de ta douce voix Je m'égare dans la prunelle ,si noire, de tes yeux si pale Et je tourne , tourne sans crier gare M'élevant dans les cieux portée par ce rire, si fort , si vrai Tu tounois majestuesement, tant de grace, élancée...

Sa chair scarifiée de leur semence Esclave de ce jeu défendu Elle s'éforce d'oublier Automate sans entendement leurs mains empoignant son corps Elle se condamne à etre celle qui souhaiterai posséder Sans un soupir, sans un bruit Laissant agir leur cupiditée...